Voici une amélioration du travail d'écriture sur "La Parure" en utilisant des connecteurs pour organiser le récit et en appliquant les éléments donnés dans le cours.
Dans "La Parure", Guy de Maupassant raconte l'histoire de Mathilde Loisel, une jeune femme qui rêve d'une vie luxueuse mais est insatisfaite de sa position sociale. Au début de l'histoire, Maupassant utilise des adjectifs tels que "pauvre" et "triste" pour décrire la vie de Mathilde et son environnement. Cependant, elle se voit offrir une invitation à une soirée de gala, ce qui donne l'occasion à Maupassant de décrire son apparence et sa personnalité en utilisant des adjectifs tels que "ravissante" et "coquette".
Par la suite, Mathilde emprunte une parure à une amie pour la soirée, qui attire l'attention de tous les invités. L'utilisation du connecteur "ensuite" permet de décrire la scène de la soirée et de mettre en évidence l'importance de la parure dans la transformation de Mathilde. Cependant, elle perd la parure en rentrant chez elle, ce qui donne à Maupassant l'occasion de décrire la quête désespérée de Mathilde pour la retrouver en utilisant des verbes tels que "courir" et "chercher".
Le connecteur "finalement" permet de décrire le dénouement de l'histoire, où Mathilde doit remplacer la parure qu'elle a perdue. Elle et son mari travaillent dur pour rembourser la dette, ce qui prend dix ans. Cette partie de l'histoire est décrite avec des adjectifs tels que "fatigué" et "épuisé", soulignant les conséquences de la quête futile de Mathilde pour la vie luxueuse qu'elle désirait.
En conclusion, en utilisant des connecteurs tels que "au début", "ensuite" et "finalement", il est possible d'organiser le récit de manière cohérente et de mettre en évidence les éléments clés de l'histoire. L'utilisation d'adjectifs pour décrire les personnages et leur environnement permet également de donner vie à l'histoire et de transmettre les émotions des personnages.
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information du le soldat 4077 dans "un long dimache de fiançailles"
Answer:
Le numéro 4077 était un soudeur avec une femme et 2 filles, il était le suivant des 5 soldats français qui ont été reconnus coupables d'automutilation. Il s'est tiré correctement, contrairement au numéro 2124, qui l'a fait accidentellement. Il l'a fait pour faire partie du groupe, c'était un signe d'unité puisqu'ils étaient 28. Il pense, à la fin, qu'ils refuseront tous de se battre. Il s'appelle Six-Soux.
Explanation:
did france’s declaration of the rights of man and citizen apply to slaves in french haiti?